Bib:Art du suspense, mode d'emploi : Différence entre versions

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Scène observée, idée venant à l'esprit, anecdote, tout peut être germe d'une idée, il faut ensuite que l'imagination s'en empare.
 
Scène observée, idée venant à l'esprit, anecdote, tout peut être germe d'une idée, il faut ensuite que l'imagination s'en empare.
  
 
Sur l'échange entre écrivains (qu'elle pense être une habitude française), elle dit :
 
Sur l'échange entre écrivains (qu'elle pense être une habitude française), elle dit :
 
{{B}}<i>Je ne peux imaginer rien de pire ou de plus dangereux que de parler de mon travail avec un autre auteur</i>(p.32){{C}}
 
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== Sur l'usage des expériences ==
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Elle revient d'abord sur l'impossibilité d'établir des « règles », une « méthode » (p.37) puis parle de « talent » (p.38).
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{{B}}<i>Le livre gagne toujours à contenir des expériences ressenties </i>(p.41){{C}}

Version du 10 décembre 2017 à 17:47

Dany:Priv

Patricia Highsmith : L'art du suspense, mode d'emploi (Calmann-Levy, 1987)

L'auteure commence par préciser :

Il n'existe pas de recette pour écrire un bon roman.

Ce qui signifie qu'elle ne va pas en donner mais plutôt parler de son expérience d'écrivaine, et notamment de ses échecs qui tiennent autant de place que les succès.

Le germe d'une idée

p. 21

Scène observée, idée venant à l'esprit, anecdote, tout peut être germe d'une idée, il faut ensuite que l'imagination s'en empare.

Sur l'échange entre écrivains (qu'elle pense être une habitude française), elle dit :

Je ne peux imaginer rien de pire ou de plus dangereux que de parler de mon travail avec un autre auteur(p.32)

Sur l'usage des expériences

p.37

Elle revient d'abord sur l'impossibilité d'établir des « règles », une « méthode » (p.37) puis parle de « talent » (p.38).

Le livre gagne toujours à contenir des expériences ressenties (p.41)