Bib:Camille Claudel. Le miroir et la nuit : Différence entre versions

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Évocation d’un drame, une poétique de l’ombre l’inspire. Elle crée un nouveau pouvoir esthétique, une proximité charnelle, un espace d’accueil que révèle avec subtilité le clair-obscur. Il reste à découvrir ses sources fécondes, sa force exemplaire et son étonnante actualité.
 
Évocation d’un drame, une poétique de l’ombre l’inspire. Elle crée un nouveau pouvoir esthétique, une proximité charnelle, un espace d’accueil que révèle avec subtilité le clair-obscur. Il reste à découvrir ses sources fécondes, sa force exemplaire et son étonnante actualité.
 
Des fragments de son histoire, de l’enfermement culturel auquel sa vocation de femme la condamne, Camille Claudel témoigne. Avec sa chair, chair plaignante, exclusive, frustrée d’amour, désintéressée et trop souffrante.
 
Des fragments de son histoire, de l’enfermement culturel auquel sa vocation de femme la condamne, Camille Claudel témoigne. Avec sa chair, chair plaignante, exclusive, frustrée d’amour, désintéressée et trop souffrante.
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[[Catégorie:Imagination et création]]

Version du 5 février 2020 à 13:04

Gérard Bouté : Camille Claudel. Le miroir et la nuit (Éd. de l'Amateur, 2000)

Présentation de l'éditeur

Page du site dédiée au livre

Une hypothèse majeure est posée dans ce livre : l’œuvre de Camille Claudel s’apparente à un miroir, tel un lieu de reflets, de conversions, de déplacements. Évocation d’un drame, une poétique de l’ombre l’inspire. Elle crée un nouveau pouvoir esthétique, une proximité charnelle, un espace d’accueil que révèle avec subtilité le clair-obscur. Il reste à découvrir ses sources fécondes, sa force exemplaire et son étonnante actualité. Des fragments de son histoire, de l’enfermement culturel auquel sa vocation de femme la condamne, Camille Claudel témoigne. Avec sa chair, chair plaignante, exclusive, frustrée d’amour, désintéressée et trop souffrante.