RM19 talk:Monde idéal de Fleur (rédaction) : Différence entre versions

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(Notes de Gaëlle 12/12/20)
 
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Il s’agit des toutes premières lignes du roman mais La Tour du Monde sera présentée au chapitre 2.
 
Il s’agit des toutes premières lignes du roman mais La Tour du Monde sera présentée au chapitre 2.
  
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=== APPORT  TEXTE EUGENIE ===
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Aujourd’hui, xx juillet 2049, je me trouve au 3eme étage de la Tour du Monde. J’attends pensive l’ascenseur  en sortant du bureau Soudan. Le ding de l’ascenseur me sort de mes pensées et je pénètre à l’intérieur. Avant d’appuyer sur l’étage qui me mènera à mon bureau Royaume-Uni, je me regarde dans le miroir face à moi et j’y vois mon reflet. Je remarque mes traits tirés et fatigués par trop de nuits sans sommeil. Sans m’en rendre compte, mes pensées voyagent jusqu’au Soudan, où j’avais l’habitude de me reposer au bord d’un étang près d’une forêt  Un jour endormie, je fis un rêve où je regardais mon reflet dans cet étang et je rêvais d’un monde idéal Ce monde idéal que m’avait inspiré cette communauté croisée au Soudan et qui semblait vivre en harmonie entre eux et avec leur environnement. Je m’y suis sentie si bien que depuis ce jour, j’en rêve.
  
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À REPRENDRE EN GROUPE
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Je pense qu’il faut éliminer l’idée du rêve.
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La narratrice vient '''réellement''' de ce monde idéal,
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libre au lecteur (qui ouvre le roman sur ces lignes)
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de penser qu’elle en rêve
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mais il ne faut pas lui souffler cette hypothèse
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qui plus est : fausse.
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« Je songe » serait plus ambigu (exprime autant un souvenir qu’un rêve).
  
== Notes de Gaëlle 12/12/20 ==
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Accessoirement, l’ascenseur de 2049
paragraphe 1
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pourrait fonctionner à la voix
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et le ding pourrait être un « bonjour Fleur ».
  
paragraphe 2 des technologies "douces" sont employées pour cultiver le sol et vivre au quotidien (l'homme augmenté) tout le monde travaille ensemble: parler de l'éducation (film de Sophie Rabhi) à la fin du paragraphe: il faut décrire l'humain, la collectivité, ce qui s'échange (développer l'idée du troc)
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Enchaîner les deux reflets
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miroir de l’ascenseur → miroir du lac
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→ enchaînement avec la suite : « Je me levais... »
  
préciser s'il s'agit d'un monde "républicain" ou démocratique (quelle autorité? Haut Conseil?)
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== Ajout 28/08/21 ==
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<s>Dans mon rêve</s> Suite déplacée dans la page de lecture.
  
paragraphe 3 voir le film sur les kibboutz quelle taille pour le village? est-ce une autre planète?(cf la belle verte le film de Coline Serreau) éco lieu?
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<s>Troublée par cette vision onirique, j’ai fait le rapprochement avec un</s> voyage au Soudan dans la région des grands lacs, huit mille ans avant notre ère ← [À déplacer vers l’intro].
  
paragraphe 4 les gardiennes ont-elles le pouvoir? la question du genre: faut-il pousser à l’extrême et supprimer le genre? la non-violence: jusqu'à quel point? pourquoi la violence si tout le monde est à égalité ?
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  Suite déplacée dans la page de lecture.
 
 
paragraphe 5 la question de l'enrichissement et de l'avidité développer: distinctions sociales par métier éducation communautaire (Afrique) l'enfant irait de clan en clan pour choisir son métier (à quel âge?) écoles Freynet: brassage des âges et des savoirs
 
 
 
paragraphe 6 y a t-ils des gens plus vertueux que d'autres? l'homme est-il naturellement bon? l’exemplarité: qui la définit? la question des privilèges des élus
 
 
 
paragraphe 7 comment se fait la transmission des mythes? y a t'il un procès? qui confère le statu de victime ou coupable? y at'il des avocats?
 
 
 
== Technologie ou pas ? ==
 
 
 
Dans mon monde idéal, les technologies s'appuient le plus possible sur les ressources naturelles, afin de garantir des conditions de vie optimales pour tous. Énergies renouvelables : solaire (panneaux collectifs), le vent (éoliennes) et l’eau (centrales hydroélectriques) pour la lumière et le chauffage. Des digues protègent l'ensemble des côtes et servent aussi à installer des centrales pour récupérer l’énergie hydraulique.
 
 
 
Agriculture : machines-outils (collectifs) qui fonctionnent avec des combustibles issus des déchets verts. Les fertilisants sont issus du CO2 recyclé.
 
   
 
Véhicules : le vélo est le plus utilisé (réseau de pistes cyclables), le téléphérique (collectif) ou le taxi volant (montgolfières) et aussi un transport collectif silencieux et rapide, qui dessert plusieurs lignes (type Hyperloop, le train à sustentation magnétique) Pour se déplacer sur l’eau, des aéroglisseurs et sous l’eau, des masques à branchies (il y a de nombreuses cités amphibies)
 
 
 
Médecine : il y a des caissons individuels de guérison, qu’on programme de façon très précise pour soigner une pathologie physique, que ce soit une fracture, un diabète, une maladie auto-immune ou un cancer. De nombreuses sources d’eau chaude sont accessibles à tous pour traiter les maux plus fréquents (bronchites, rhumatismes) Implants et vaccins permettent couramment de soigner des maladies psychiques graves ou des maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson)
 
 
 
Communications : chaque foyer est équipé d’un écran de visioconférence qui sert à communiquer, mais aussi de télévision et d’accès à un superordinateur central. Tous les savoirs et le patrimoine culturel de l’humanité sont mis de façon réfléchie et organisée à disposition de tous. En dehors des villes et villages, on peut utiliser des lunettes connectées qui permettent de se repérer dans l’espace et de prendre des photos. Pour communiquer, des bornes sont habilement intégrées dans le paysage.
 
 
 
Quotidien : Frigo connecté qui se remplit de façon programmée et automatisée. Chauffage et lumières automatisées(intérieur et extérieur) Objets usuels et outils réalisés avec une imprimante 3D commune au quartier ou au village et propriété de la collectivité (un jardin partagé est cultivé sur le toit des habitations en ville ou dans le village)
 
 
 
=== Travail et technologie sujet du 16/01/21 ===
 
Dans la plaine, des fermiers travaillaient aux champs pour répondre aux besoins essentiels et locaux de La Source. Des échanges entre villages s'organisaient afin d'élargir et enrichir les choix de denrées.
 
 
 
Si l’on interroge les habitants de la vallée, on apprend que dans ce monde idéal, il n’y a pas de propriété individuelle, mais des échanges de biens et de services. Les ressources sont en suffisance et l’eau est partagée de manière équitable. Tout le monde, en particulier les enfants, mange à sa faim. Les repas sont préparés en commun quand les travaux des champs réunissent les fermiers. On se nourrit du pain cuit au four, de poisson ou de viande séchée, des légumes du jardin partagé et de fruits sauvages, tels que les mûres, les pommes et les figues, ramassés par les enfants. Puis, une fois le repas terminé, on s’accorde une petite sieste sous l’arbre, avant de repartir au travail. La course du soleil rythme la journée de labeur et les journées de pluie, on reste au sec. La cupidité et le luxe n’ont pas leur place dans la communauté. Les vêtements et les objets sont simples et pratiques, mais une fois par an, une grande fête a lieu et chacun s’habille comme il le souhaite, porte les vêtements, les bijoux et le maquillage qu’il a confectionné.
 
 
 
Les femmes partagent les tâches avec les hommes, que ce soit aux champs ou dans l’artisanat. Certaines sont assez fortes pour devenir des guerrières, celles que l’on nomme les Gardiennes. Les couples sont libres et sans exclusivité. Dans ce monde imaginaire, les femmes sont respectées dans leurs choix de vie et leur choix amoureux. La violence à leur encontre est interdite et les femmes sont protégées s’il y a lieu par les Gardiens. Les enfants n’appartiennent pas à un couple ou une famille en particulier. Ils sont éduqués par les adultes et pris en charge avec bonté et clairvoyance, car ils sont l’avenir de la communauté. Les abus de toute sorte n’existent pas et les enfants expriment leur joie de vivre de la façon qui leur convient : leurs talents sont encouragés dès le plus jeune âge. Ils peuvent travailler dès que leur constitution le permet, mais la connaissance et l’éducation sont privilégiées tout au long de leur développement. Dans ce monde imaginaire, les enfants vivent en harmonie, peuvent jouer avec insouciance et ne manquent de rien, surtout pas d’amour.
 
 
 
La connaissance est accessible à tous, tout au long de la vie. On peut apprendre pour avoir un métier, mais aussi pour le plaisir de s’amuser, de faire de la musique, des arts plastiques, de danser ou de déclamer de la poésie. Les cours sont publics et on peut y assister pendant les temps de loisirs. Tous les habitants se retrouvent alors par affinités, quel que soit sa classe sociale. L’activité principale de chacun détermine sa classe sociale, comme l’agriculture, l’artisanat, la sécurité…Il y a donc les Laboureurs, les Artisans, les Gardiens. Et il y a les Sages. Ce sont eux qui enseignent aux enfants mais tout le monde peut être appelé à enseigner s’il le souhaite, en plus de son labeur. Les échanges de savoirs sont fréquents dans ce monde idéal, dans la mesure où chacun a toujours une connaissance ou un savoir à offrir, quelques qu’ils soient. Il n’est pas rare de voir un enfant enseigner aux autres enfants ou même aux adultes, où trouver les meilleures figues, le meilleur endroit pour se baigner ou bien l’arbre dans lequel on pourra observer les nids d’oiseaux.
 
 
 
Ce sont les Anciens qui administrent la communauté, au service de laquelle ils sont à partir du moment où ils le demandent. Ils sont cooptés parce qu’ils détiennent l’ensemble des connaissances. Aucun avantage, aucun titre de noblesse n’est rattaché au statut d’Ancien. Leur maison est située dans les hauteurs non pas pour le prestige, mais pour les mettre à l’abri des inondations. Le Cercle des Anciens se doit d’être exemplaire pour être légitime. On peut s’adresser à lui sans aucune difficulté, d’égal à égal, pour exposer son problème ou faire une proposition. Tous les citoyens peuvent ainsi participer à la gestion de la communauté de façon indirecte, s’ils le souhaitent. Le but commun est la paix et la prospérité et tout est mis en œuvre pour éviter d’entrer en conflit, pour quelque raison que ce soit.
 
 
 
Les différences sont respectées et un compromis entre les parties est recherché s’il y a lieu. Dans ce monde idéal, la paix et l’amour règnent partout, quel que soit l’origine ou la couleur de la peau. Chacun peut s’exprimer dans l’intimité du foyer, s’il ne souhaite pas le faire sous le regard des autres ou si cela se ferait à leur détriment. Ainsi, on peut pratiquer sa religion dans un espace privé ou dans un lieu choisi avec ceux qui partagent la même foi. Beaucoup sont animistes et la nature inspire leurs prières et leurs offrandes. Il n’y a pas de clergé ou de chaman pour guider et encadrer la pratique religieuse, chacun étant libre de ses choix. S’il advient qu’un délit ou un crime soit commis, ou des violences exercées contre une personne vulnérable, la communauté intervient immédiatement pour prêter assistance aux victimes et punir les coupables. Ceux-ci sont alors expulsés du monde idéal sans autre forme de procès, ainsi qu’Adam et Eve du Paradis.
 

Version actuelle datée du 4 septembre 2021 à 09:22

Intro

Afin de respecter les consignes du plan :

Fleur attend devant l’ascenseur du 3e étage de La Tour du Monde, se regarde dans le miroir, enchaînement avec image de Fleur dans une rivière en forêt : elle se parle à elle-même.

Il s’agit des toutes premières lignes du roman mais La Tour du Monde sera présentée au chapitre 2.

APPORT TEXTE EUGENIE

Aujourd’hui, xx juillet 2049, je me trouve au 3eme étage de la Tour du Monde. J’attends pensive l’ascenseur en sortant du bureau Soudan. Le ding de l’ascenseur me sort de mes pensées et je pénètre à l’intérieur. Avant d’appuyer sur l’étage qui me mènera à mon bureau Royaume-Uni, je me regarde dans le miroir face à moi et j’y vois mon reflet. Je remarque mes traits tirés et fatigués par trop de nuits sans sommeil. Sans m’en rendre compte, mes pensées voyagent jusqu’au Soudan, où j’avais l’habitude de me reposer au bord d’un étang près d’une forêt Un jour endormie, je fis un rêve où je regardais mon reflet dans cet étang et je rêvais d’un monde idéal Ce monde idéal que m’avait inspiré cette communauté croisée au Soudan et qui semblait vivre en harmonie entre eux et avec leur environnement. Je m’y suis sentie si bien que depuis ce jour, j’en rêve.

À REPRENDRE EN GROUPE
Je pense qu’il faut éliminer l’idée du rêve.
La narratrice vient réellement de ce monde idéal,
libre au lecteur (qui ouvre le roman sur ces lignes)
de penser qu’elle en rêve 
mais il ne faut pas lui souffler cette hypothèse
qui plus est : fausse.
« Je songe » serait plus ambigu (exprime autant un souvenir qu’un rêve).
Accessoirement, l’ascenseur de 2049
pourrait fonctionner à la voix
et le ding pourrait être un « bonjour Fleur ».
Enchaîner les deux reflets
miroir de l’ascenseur → miroir du lac 
→ enchaînement avec la suite : « Je me levais... »

Ajout 28/08/21

Dans mon rêve Suite déplacée dans la page de lecture.

Troublée par cette vision onirique, j’ai fait le rapprochement avec un voyage au Soudan dans la région des grands lacs, huit mille ans avant notre ère ← [À déplacer vers l’intro].

Suite déplacée dans la page de lecture.