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Aphrodite et l'homme sans domicile fixe s'aguichaient dans le parc loin des regards des soeurs du couvent,les yeux dans les yeux  et le corps dans le corps. En symbiose ils se livraient à un amour total sans scrupule. Elle avec le bras dans le plâtre en l'air et lui les pieds badigeonnés de mercurochromes en éventails sans les chaussures.Une aventure d'un jour, de quelques mois, d'années ou d'un coup de foudre pour la vie...  
 
Aphrodite et l'homme sans domicile fixe s'aguichaient dans le parc loin des regards des soeurs du couvent,les yeux dans les yeux  et le corps dans le corps. En symbiose ils se livraient à un amour total sans scrupule. Elle avec le bras dans le plâtre en l'air et lui les pieds badigeonnés de mercurochromes en éventails sans les chaussures.Une aventure d'un jour, de quelques mois, d'années ou d'un coup de foudre pour la vie...  
Maya aurait aimé le savoir, à titre de curiosité.Mais sa timidité revînt au galop pour se sentir gênée, honteuse de les avoir vu.Vite fait ,elle rebroussa chemin en empruntant une allée vers le potager. Des légumes d'été, étaient plantés dans des sillons bien droits dans un rectangle délimité par des bordures en bois. Les feuillages bien verts, respiraient une parfaite santé, d'une très bonne exposition de plein sud. La Mère Supérieure Thérésa prenait l'air sur un banc en face de gigantesques hortensias. Toujours gênée Maya s'en approcha lentement en bafouillant d'un petit bonjour pour finalement lui tendre une lettre qu'elle lui avait préparé la veille et toujours en bafouillant, elle poursuivi:  
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Maya aurait aimé le savoir, à titre de curiosité.Mais sa timidité revînt au galop pour se sentir gênée, honteuse de les avoir vu.Vite fait ,elle rebroussa chemin en empruntant une allée vers le potager. Des légumes d'été, étaient plantés dans des sillons bien droits dans un rectangle délimité par des bordures en bois. Les feuillages bien verts, respiraient une parfaite santé, d'une excellente exposition de plein sud. La Mère Supérieure Thérésa prenait l'air sur un banc en face de gigantesques hortensias. Toujours gênée Maya s'en approcha lentement en bafouillant d'un petit bonjour pour finalement lui tendre une lettre qu'elle lui avait préparé la veille et toujours en bafouillant, elle poursuivi:  
  
 
"Il m'est plus facile Mère Thérésa de vous raconter un peu ma vie dans un écrit qu'oralement,si vous voulez bien".
 
"Il m'est plus facile Mère Thérésa de vous raconter un peu ma vie dans un écrit qu'oralement,si vous voulez bien".
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                    Mère Supérieure,
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          Comme j'ai une totale confiance en vous et comme vous avez touché mon point sensible l'autre jour en me parlant de mes cauchemars, de souffrances psychologiques et physiques vous m'avez convaincu de vous en faire part,uniquement à vous.
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Au Liban la guerre civile à détruit physiquement et psychiquement toute la population, Chrétiennes ou Musulmanes qui se mélangeaient en une seule famille.
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Mes cauchemars viennent surtout de faits réels, violents vécus à Beyrouth même.Ma mémoire me les retransmet pendant mon sommeil, me soumet à ce que je les revive comme dans le présent. Tout est encore frais, je ne peux que  m'incliner.
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Version du 24 octobre 2018 à 14:17

Splendeur-Chap.03

Idées

Développer ici les diverses idées relatives au titre"Amour".

Aphrodite et le SDF. Maya à la recherche de sa mémoire, son avenir. Le Viking continue à tuer. Les cauchemars réels de Maya. Le rêve du voyage avec le père et la soeur il y a plus d'un an en France.


Développement

Aphrodite et l'homme sans domicile fixe s'aguichaient dans le parc loin des regards des soeurs du couvent,les yeux dans les yeux et le corps dans le corps. En symbiose ils se livraient à un amour total sans scrupule. Elle avec le bras dans le plâtre en l'air et lui les pieds badigeonnés de mercurochromes en éventails sans les chaussures.Une aventure d'un jour, de quelques mois, d'années ou d'un coup de foudre pour la vie... Maya aurait aimé le savoir, à titre de curiosité.Mais sa timidité revînt au galop pour se sentir gênée, honteuse de les avoir vu.Vite fait ,elle rebroussa chemin en empruntant une allée vers le potager. Des légumes d'été, étaient plantés dans des sillons bien droits dans un rectangle délimité par des bordures en bois. Les feuillages bien verts, respiraient une parfaite santé, d'une excellente exposition de plein sud. La Mère Supérieure Thérésa prenait l'air sur un banc en face de gigantesques hortensias. Toujours gênée Maya s'en approcha lentement en bafouillant d'un petit bonjour pour finalement lui tendre une lettre qu'elle lui avait préparé la veille et toujours en bafouillant, elle poursuivi:

"Il m'est plus facile Mère Thérésa de vous raconter un peu ma vie dans un écrit qu'oralement,si vous voulez bien".


                   Mère Supérieure,
          Comme j'ai une totale confiance en vous et comme vous avez touché mon point sensible l'autre jour en me parlant de mes cauchemars, de souffrances psychologiques et physiques vous m'avez convaincu de vous en faire part,uniquement à vous.

Au Liban la guerre civile à détruit physiquement et psychiquement toute la population, Chrétiennes ou Musulmanes qui se mélangeaient en une seule famille. Mes cauchemars viennent surtout de faits réels, violents vécus à Beyrouth même.Ma mémoire me les retransmet pendant mon sommeil, me soumet à ce que je les revive comme dans le présent. Tout est encore frais, je ne peux que m'incliner.

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